Association pour la préservation de l'espace astral

L’ASPS regroupe des mages, chamans et esprits libres qui prennent soin de certaines régions de l’espace astral.

Histoire

La société a été créée pour accomplir certaines volontés du testament de Dunkelzahn :

• Surveiller les abus potentiels de l’espace astral et de ses habitants
• Protéger les droits des habitants de l’espace astral
• Établir une série de paramètres permettant de faciliter des relations constructives entre la métahumanité et les esprits
• Créer un sanctuaire dans l’espace astral pour les êtres en quête d’un asile

Organisation

Bien que l’ASPS est, de facto, la branche recherche du DIMR, et donc qu’il soit lié administrativement, les membres de l’organisation se voient plutôt comme des environnementalistes que des chercheurs scientifiques. Ils travaillent donc en coopération avec des organisations écologiques pour empêcher la corruption de l’espace astrale par les phénomènes toxiques, comme ce qui a pu arriver à la SOX, la Mer du Nord, le Yucatan et Tripoli.

Son quartier général est à Chicago.

Dirigeants

La dirigeante de la société est l’esprit libre originaire de Bali : Ibu Air, généralement accompagnée par un nain de Sumatra qui lui sert d’interprète, car elle s’exprime dans un dialecte Balinais archaïque qu’aucun linguasoft ne semble pouvoir traduire.

Recrutement

L’ASPS est également un groupe magique qui recrute des initiés à travers le monde entier, ils y apprennent généralement des techniques métamagiques comme purification, ou filtration, pour pouvoir agir dans les zones corrompues de l’espace astral.

Sanctuaire

On pense que conformément au testament de Dunkelzahn, la société a créé un sanctuaire dans l’espace astral. On ignore où se trouve ce sanctuaire, mais la rumeur veut que ce soit :

• un grand Métroplexe
• le quartier général qui se trouve à Chicago
• Denver depuis que Ghostwalker les a invité à ouvrir des bureaux là-bas
• un métaplan inconnu
• ou encore qu’il y aurait plusieurs sanctuaires.

Références

• Loose Alliances (p.10-11)