Globewatch

Globewatch, connu également sous le sigle GW, est un paradis numérique où les écologistes échangent des informations sur l'environnement de la planète. Les éco-radicaux y préparent également leurs actions, en particulier contre les protections électroniques et matricielles des corporations qui polluent l'environnement. Leurs hackers sont réputés pour leur compétence.

Histoire

GlobeWatch a commencé avec le decker Phantom Marauder dans les années 2040. Son petit groupe de deckers écolos a créé quelques systèmes-hôtes matriciels sur la Grille de la Ligue des Caraïbes, pour en faire une banque de données dirigée vers ceux qui s'intéressent à l’environnement.

Rapidement, l'organisation s’est fait une réputation, en fournissant notamment les meilleures infos, les plus inaccessibles, en particulier concernant les comportements irresponsables de corporations. Dans les années 2061 et 2062 GW a été particulièrement actif en dévoilant les violations des mégacorpos pendant la course à l'orichalque. Après le Crash 2.0, GW a gagné une renommée vraiment internationale en révélant que Shiawase Atomics utilisait des matériaux courants pour réparer ses centrales nucléaires. En 2066, la Cour corporatiste a autorisé une arrestation des des membres de Globewatch en l'accusant d'être un groupe éco-terroriste. 150 membres ont été arrêtés en un an, dont Phantom Marauder, et l'organisation a fait profile bas. En 2069, un nouveau leader, Jade Sentinel, a relancé l'organisation.

C’est aujourd'hui un lieu de rencontre pour la communauté écologiste, pour accéder aux dernières infos et pour réfléchir à de nouvelles stratégies environnementales. Les dernières grosses révélations concernent le projet d'ascenseur spatial de la Cour corporatiste, sur le Kilimandjaro.

Organisation

Au cœur du groupe, il y a un petit nombre de hackers qui volent les données des corporations sur leur véritable impact environnemental, mènent des campagnes de contre-publicité sur les véritables agissements des pollueurs et vont même jusqu'à faciliter l'infiltration des missions de sabotage de groupes éco-radicaux comme TerraFirst!.

Références

• Hazard Pay p. 18-20
• Loose Alliances p. 12-13