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En [[2082]], la '''Commission des Affaires Mégacorporatistes''' (''Commission on Megacorporate Affairs'' ou COMA) est un regroupement officieux d'agents de l'[[Organisation des Nations unies]] œuvrant à diminuer l'influence des [[corporation]]s.<ref name="LA61">[[Source:Loose Alliances|Loose Alliances]], p.61</ref>
En [[2082]], la '''Commission des Affaires Mégacorporatistes''' (''Commission on Megacorporate Affairs'' ou COMA) est un regroupement officieux d'agents de l'[[Organisation des Nations unies]] œuvrant à diminuer l'influence des [[corporation]]s.<ref name="LA61">[[Source:Loose Alliances|Loose Alliances]], p.61</ref>
==Histoire==
==Histoire==
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À ceci s'est également ajoutée l'influence croissante des [[UCAS]] pro-corporatistes sur l'[[ONU]] dont ils sont devenus les principaux pourvoyeurs de forces armées.<ref>[[Source:The Complete Trog|The Complete Trog]], pp.113</ref>
 
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==Fonctions==
==Fonctions==

Version du 13 octobre 2022 à 17:03

En 2082, la Commission des Affaires Mégacorporatistes (Commission on Megacorporate Affairs ou COMA) est un regroupement officieux d'agents de l'Organisation des Nations unies œuvrant à diminuer l'influence des corporations.[1]

Histoire

La commission née officiellement en 2060, sous l'impulsion du Secrétaire Général de l'époque, Balaji Padiyar, au lendemain de la Guerre Corporatiste et en parallèle de l'adoption de la Résolution 3031, avec la mission de "réguler l'influence des puissances économiques quant aux problématiques devant relever des sphères politiques". Il s'agit alors d'une des dizaines de commissions répondant directement au Secrétaire Général.[1]La découverte de ses objectifs, et les protestations corporatistes qui s'ensuivirent, menèrent à un démenti du Secrétaire Général et à son démantèlement officiel.[1] Bien que réaffectés à divers services, ses anciens agents (moins d'une cinquantaine d'individus en 2064[2]) ont continué d'œuvrer secrètement à leur mission, avec le soutien de Balaji Padiyar.[1]

Ils auraient offert leur assistance à Filipa Salonga aux début des années 2060, suite à sa défaite aux élections philippines de 2059. [3]

Durant les années 2070, la commission a cependant pris du plomb dans l'aile suite au remplacement de Balaji Padiyar par Iker Lezabatxe, l'ancien Lehendakari d'Euskal Herria aux convictions plus pro-corporatiste, qui a cherché à éradiquer la présence du COMA, et plus généralement des initiatives anti-corporatistes, au sein de l'ONU.[4][5]À ceci s'est également ajoutée l'influence croissante des UCAS pro-corporatistes sur l'ONU dont ils sont devenus les principaux pourvoyeurs de forces armées.[6]La crise du SFC, du fait de son origine mégacorporatiste et de l'instabilité politique qu'elle entraîne en Euskal Herria, a toutefois fait revoir ses positions au Secrétaire Général.[7]

Fonctions

Leurs actions se concentrent typiquement à surveiller et saboter les activités corporatistes en matière de biotechnologie, d'armement, de criminalité matricielle et de fraude économique. Ils utilisent la Résolution 3031 afin d'envoyer des équipes d'observations sur les sites d'intérêts et maquillent la présence de runners en tant qu'experts.[2]

Ils sont connus pour les missions "Speed COMA", des opérations d'infiltration des Casques bleus visant à espionner les corporations, planifiées en seulement quelques jours pour des raisons de confidentialité.[8]

Notes

  • Incohérence : L'Europe des Ombres indique que la fondation de la COMA par Balaji Padiyar fait l'objet d'une rumeur. Loose Alliances décrit la création de la commission comme officielle et publique dont seule la pérennité suite à sa prétendue dissolution est secrète. Cette deuxième version a été conservée pour la rédaction de l'article, étant plus détaillée et reprise dans les publications ultérieures.

Références

  1. ↑ 1,0 1,1 1,2 et 1,3 Loose Alliances, p.61
  2. ↑ 2,0 et 2,1 Loose Alliances, p.150
  3. ↑ Shadows of Asia, p.176
  4. ↑ Street Legends, p.152
  5. ↑ The Complete Trog, pp.113-114
  6. ↑ The Complete Trog, pp.113
  7. ↑ The Complete Trog, pp.114
  8. ↑ Loose Alliances, p.63

Sources

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