« Société des faux-visages » : différence entre les versions
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Version du 19 mars 2022 à 17:08
La Société des faux-visages (False Face Society en VO) est connue comme étant une fraternité de chamans et de guérisseurs du Conseil Algonquin-Manitou et de la Nation Sioux. Le nom de cette organisation vient des masques sacrés qu'ils utilisent pendant les rituels de guérison ou de bannissement. La False Face Society est une des sociétés de guérisseurs les plus respectées avec les Otter Bear, le Cercle des Docteurs Ours, la Buffalo Society et l'Eagle Society.
Un groupe avec d'autres buts profite de cette façade pour agir discrètement, les Crying Masks.
Origines
Les origines de la False Face Society remontent à plusieurs siècles, quand ils servaient d'hommes-médecine aux six tribus Haudenosaunee. Ces tribus pensaient en effet que ce sont les mauvais esprits qui apportent les maladies et que seuls les personnes d'esprit fort peuvent les vaincre. Les membres de la False Face Society étaient donc chargés de vaincre les mauvais esprits pour chasser les maladies. Les Haudenosaunee vivent actuellement sur le territoire du Conseil Algonquin-Manitou et de la Nation Sioux.
Des membres de la False Face Society ont probablement participé à la Grande Danse des Esprits mais, selon d'autres rumeurs, ils auraient au contraire essayé de l'empêcher.
Membres
La société n'accepte que des membres du peuple Haudenosaunee. Elle accepte les femmes, même si cela n'a pas toujours été le cas.
Objectifs
Elle se bat pour l'environnement et est opposée aux implants de tout type. Elle promeut la régulation de la "magie non-éthique". Elle considère la conjuration comme de l'esclavage pour les esprits. Elle pratique le lobbying et la propagande, en organisant notamment des manifestations et des boycotts.
Iconoclasme
Chaque masque est un focus unique utilisé pour les sorts de soins ou l'invocation d'esprits et chaque membre doit créer le sien. Les masques étant considérés comme sacrés, il est interdit de les photographier ou d'en faire toute forme de représentation iconographique.
Quand ils ne sont pas utilisés, les masques sont confiés à un gardien qui n'est jamais un homme-médecine. Le gardien conserve aussi les masques des membres qui sont morts ou ont quitté la société.
Références
- Threats 2 (p.81 à 89)