« Crying Masks » : différence entre les versions
m (UneVoix a déplacé la page Masques en Pleurs vers Crying Masks par-dessus une redirection) |
Aucun résumé des modifications |
||
(Une version intermédiaire par un autre utilisateur non affichée) | |||
Ligne 1 : | Ligne 1 : | ||
'''Crying Masks''' (qui signifie Masques en pleurs) est une organisation secrète formée par des [[chaman]]s ayant quitté la [[Société des faux-visages]] pour fonder cette société guerrière et hors-la-loi. | |||
La plupart des hommes-médecine sont pacifiques, voire pacifistes, mais certains deviennent radicaux dans leurs croyances et finissent par trouver leurs chefs trop passifs. De leur point de vue, la [[Société des faux-visages]] a échoué dans sa mission de protection et de guérison. | La plupart des hommes-médecine sont pacifiques, voire pacifistes, mais certains deviennent radicaux dans leurs croyances et finissent par trouver leurs chefs trop passifs. De leur point de vue, la [[Société des faux-visages]] a échoué dans sa mission de protection et de guérison. | ||
Dernière version du 21 mars 2022 à 22:11
Crying Masks (qui signifie Masques en pleurs) est une organisation secrète formée par des chamans ayant quitté la Société des faux-visages pour fonder cette société guerrière et hors-la-loi. La plupart des hommes-médecine sont pacifiques, voire pacifistes, mais certains deviennent radicaux dans leurs croyances et finissent par trouver leurs chefs trop passifs. De leur point de vue, la Société des faux-visages a échoué dans sa mission de protection et de guérison.
Les Crying Masks font la guerre aux corpos liées à la cybertechnologie et à la biotechnologie en sabotant et détruisant leurs installations. Ils kidnappent et assassinent aussi les membres de ces corpos.
Leur but est simple : augmenter le coût des implants technologiques afin qu'ils ne soient pas rentables à produire. Leur propagande dénonce la technologie "Frankenstein" et promeut le rejet de la "culture implant".
Il sont aussi contre l'esclavage des esprits et en ont libéré beaucoup.
Références
- Threats 2 (p.86 à 89)