« Lucien Cross » : différence entre les versions
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Il a été souvent décrit comme un bourreau de travail (même après ses soixante-dix ans, en [[2061]]) strict et distant, mais avec un charisme qui lui a permis de nouer des contacts autour du monde. Il est poli et même trop poli, capable de conclure une affaire dure sans élever la voix, et il n'oublie jamais une faveur ou une rancune. Ses employés l'appelaient "Old Stone-Face" (Vieille Gueule de Pierre). | |||
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On ne connaît que très peu Lucien Cross avant [[2034]], quand il crée Cross Matrix Technologies, le précurseur de [[Cross Applied Technologies]]. Avant cela, il a travaillé à [[Acquisition Technologies]], une société d'investigation et de recherches sur la [[Matrice]]. C'était un expert de l'espionnage de [[corporation]]s, et apparemment il aurait conclu une affaire avec [[David Gavilan]] (qui plus tard est devenu [[Damien Knight]]), et a fourni les serveurs qui ont permis à Knight d'orchestrer le [[rachat de la nanoseconde]] en [[2033]]. Avec l'argent qu'il a gagné lors du rachat, il a pu se diversifier dans de nouveaux domaines tels que l'électronique, le divertissement, la recherche biomédicale, et d'autres filiales et réincorporer ses possessions dans [[Cross Applied Technologies]] en [[2044]]. | |||
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* [[ | * [[République de Québec]] | ||
== | == Sources == | ||
* Blood in the Boardroom | * [[Blood in the Boardroom]] pp 52-67 | ||
* Corporate Download | * [[Corporate Download]] pp 51-57 | ||
* | * [[l'Amérique des Ombres]] p 104 | ||
* System Failure p 84, pp 97-98 | * [[System Failure]] p 84, pp 97-98 | ||
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Dernière version du 15 mai 2011 à 21:52
Le professeur Lucien Cross , était le PDG et fondateur de Cross Applied Technologies jusqu'à sa mort le 2 novembre 2064 dans un accident d'avion. Il était connu pour sa rivalité avec Damien Knight et pour avoir créé les Seraphim, probablement la meilleure organisation de renseignement privée mondiale. Il a eu un fils, Jean-Marie Cross, et un neveu incompétent, qui a dirigé divers bureaux dans CATCo, appelé Bernard Cross.
Personnalité
Il a été souvent décrit comme un bourreau de travail (même après ses soixante-dix ans, en 2061) strict et distant, mais avec un charisme qui lui a permis de nouer des contacts autour du monde. Il est poli et même trop poli, capable de conclure une affaire dure sans élever la voix, et il n'oublie jamais une faveur ou une rancune. Ses employés l'appelaient "Old Stone-Face" (Vieille Gueule de Pierre).
Histoire
On ne connaît que très peu Lucien Cross avant 2034, quand il crée Cross Matrix Technologies, le précurseur de Cross Applied Technologies. Avant cela, il a travaillé à Acquisition Technologies, une société d'investigation et de recherches sur la Matrice. C'était un expert de l'espionnage de corporations, et apparemment il aurait conclu une affaire avec David Gavilan (qui plus tard est devenu Damien Knight), et a fourni les serveurs qui ont permis à Knight d'orchestrer le rachat de la nanoseconde en 2033. Avec l'argent qu'il a gagné lors du rachat, il a pu se diversifier dans de nouveaux domaines tels que l'électronique, le divertissement, la recherche biomédicale, et d'autres filiales et réincorporer ses possessions dans Cross Applied Technologies en 2044.
Quand Cross Applied Technologies a cherché à obtenir l'extraterritorialité en 2053, la manoeuvre impliquée a presque couté la vie à Lucien Cross. CATCo a volé Bioleve à Ares, et ceci a déclenché une inimitié secrète entre Damien Knight et Lucien Cross, chacun ayant dès lors cherché à détruire ou volé des capitaux de la corporation adverse. Une guerre non déclarée entre les deux sociétés a continué jusqu'à la mort de Cross.
Lucien Cross est mort le 2 novembre 2064 dans un accident d'avion, vraisemblablement dû au Crash 2.0. Sa compagnie, Cross Applied Technologies souffre de revers dû à Damien Knight et Ares Macrotechnology, et perd par la suite son siège de mégacorporation de la Cour Corporatiste au profit d'Horizon Group.
Voir aussi
Sources
- Blood in the Boardroom pp 52-67
- Corporate Download pp 51-57
- l'Amérique des Ombres p 104
- System Failure p 84, pp 97-98