« Cyberware » : différence entre les versions
imported>El Comandante (Début de traduction) |
imported>El Comandante |
||
Ligne 11 : | Ligne 11 : | ||
Il s'ensuivit une véritable ruée vers l'or de la part des grandes [[corporation]]s, la cybertechnologie devenant rapidement un des domaines les plus importants de la recherche. Le premier et principal enjeu de ces recherches fut l'alimentation en énergie des appareillages cybernétiques. Les piles et autres systèmes de recharge purent être remisés grâce au développement de nouveaux supraconducteurs qui ont permis de récupérer une partie de l'énergie électrique produite par le corps. | Il s'ensuivit une véritable ruée vers l'or de la part des grandes [[corporation]]s, la cybertechnologie devenant rapidement un des domaines les plus importants de la recherche. Le premier et principal enjeu de ces recherches fut l'alimentation en énergie des appareillages cybernétiques. Les piles et autres systèmes de recharge purent être remisés grâce au développement de nouveaux supraconducteurs qui ont permis de récupérer une partie de l'énergie électrique produite par le corps. | ||
Avec le temps, le port de cyberware a été de mieux en mieux accepté socialement et s'est généralisé au point que la plupart des personnes, dans les pays industrialisés, portent au moins un [[datajack | Avec le temps, le port de cyberware a été de mieux en mieux accepté socialement et s'est généralisé au point que la plupart des personnes, dans les pays industrialisés, portent au moins un [[datajack]]. | ||
==Types de cyberware== | ==Types de cyberware== |
Version du 2 mai 2007 à 02:00
Le mot cyberware désigne les implants issus de la cybertechnologie. Il s'agit d'appareils électroniques implantés chirurgicalement sur un métahumain et reliés à son système nerveux central pour qu'ils puissent être commandés par celui-ci. Il existe différentes sortes de cyberware, dont l'utilité est généralement d'accroître les capacités physiques ou mentales, mais qui peuvent être aussi purement esthétiques.
Histoire
Même si l'usage de prothèses remonte à 2000 ans avant Jésus-Christ et bien que des implants électroniques aient commencé à voir le jour au XXèmesiècle, le premier vrai implant cybernétique considéré comme du cyberware fut la prothèse de main fabriquée par Transys Neuronet pour la violoniste Leonora Bartoli en 2019. Cette main gauche artificielle a pu être reliée grâce à des nanites à son système nerveux, et donc utilisée par la patiente comme une main normale.
Il s'ensuivit une véritable ruée vers l'or de la part des grandes corporations, la cybertechnologie devenant rapidement un des domaines les plus importants de la recherche. Le premier et principal enjeu de ces recherches fut l'alimentation en énergie des appareillages cybernétiques. Les piles et autres systèmes de recharge purent être remisés grâce au développement de nouveaux supraconducteurs qui ont permis de récupérer une partie de l'énergie électrique produite par le corps.
Avec le temps, le port de cyberware a été de mieux en mieux accepté socialement et s'est généralisé au point que la plupart des personnes, dans les pays industrialisés, portent au moins un datajack.
Types de cyberware
Headware
Senseware
Bodyware
Membres cybernétiques
Qualités de cyberware
- Standard
- "ɑ" Alphaware
- "β" Betaware
- "Δ" Deltaware
Légalité
Dangers du cyberware
- L'implantation de cyberware fait perdre de l'essence à son porteur. Les scientifiques ne parviennent pas à déterminer avec exactitude quelle est l'origine de cette perte d'essence, mais les recherches s'orientent vers la responsabilité des connexions nerveuses artificielles ou des médicaments permettant de limiter les risques de rejet. Les recherches thaumaturgiques affirment que l'Aura et l'âme du patient sont dérangées par les implants cybernétiques. La perte d'essence occasionne des troubles psychiques et psychosomatiques pouvant aller jusqu'au décès.
- Des magiciens ont réussi à créer un rituel de cybermancie permettant de lier l'âme du patient au cyberware qui lui est implanté. Cela permet de réduire la perte d'essence et donc de porter une quantité de cyberware normalement mortelle, mais les patients deviennent des cyberzombies incapables d'éprouver des sentiments et donc d'avoir des relations affectives normales.
- Durant toute la période de récupération, qui peut varier de quelques heures à plusieurs semaines en fonction de la taille du cyberware et de l'endroit où il est implanté, le risque de rejet reste réel et inévitable malgré l'utilisation de matériaux adaptés.
- Le cyberware étant relié au système nerveux par le biais de nanites, la présence d'un spécialiste en nanochirurgie est normalement indispensable au moment de l'implantation, mais ce n'est pas toujours le cas.