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Le '''Syndrome Induit Viralement Toxico-Allergique''', plus connu sous l'acronyme de '''SIVTA''', est un virus hautement mortel et extrêmement contagieux car transmissible par voie aérienne. Les deux grandes pandémies de SIVTA, en [[2010]] puis [[2022]], ont décimé plusieurs milliards de personnes. Sous de nombreux aspects, le SIVTA a été responsable de la chute d'anciennes puissances et de la naissance de nouvelles, juste avant le début du Sixième Monde.
Le '''Syndrome Induit Viralement Toxico-Allergique''', plus connu sous l'acronyme de '''SIVTA''', est un virus hautement mortel et extrêmement contagieux car transmissible par voie aérienne. Les deux grandes pandémies de SIVTA, en [[2010]] puis [[2021]], ont décimé plusieurs milliards de personnes.


<!--ARTICLE DE SIXTH WORLD WIKI A TRADUIRE
Certaines rumeurs prétendent qu'une arme biologique de forme virale, utilisant les mêmes vecteurs et présentant des symptômes similaires, avait été développée dans un laboratoire de recherche de Christmas Valley, en Oregon.
'''Virally-Induced Toxic Allergy Syndrome''', most commonly known as the acronym '''VITAS''', is a highly-lethal, highly-communicable airborne virus. Two strains of VITAS rampaged across the world in the first quarter of the 21st century, killing billions from initial exposure and subsequent secondary infections. In many ways, VITAS set the stage for the fall of the old powers and the rise of the new powers prior to the coming of the Sixth World.
==Symptoms and Treatment==
VITAS becomes evident 12 hours after initial exposure. Following incubation, initial symptoms include fever, chills, and vomiting. If unchecked, VITAS progress into anaphylactic shock, with an increase in histamine levels causing bronchospasms and vasodilation. Most deaths occur from bronchoconstriction, leading to suffication.


Average individuals who are exposed to any strain of VITAS have the following approximate statistical likelihood of surviving, presuming drug therapies are on hand:
==Symptômes et traitements==
Les premiers symptômes du SIVTA apparaissent dans les 12 heures après l'exposition initiale au virus. Passée cette période d'incubation, les frissons, la fièvre et les nausées s'intensifient peu à peu. S'il n'est pas endigué, le SIVTA  provoque un choc anaphylactique, avec une augmentation des taux d'histamine qui entraîne une vasodilatation des bronches. La plupart des morts sont dûes à une suffocation par bronchoconstriction, comme cela peut arriver pour les crises d'asthme.


Humans, elves: 1:216.
En moyenne, un individu exposé au virus a statistiquement les chances suivantes de survie, s'il a des médicaments adaptés à sa portée :
Orks: 1:72.
:Une chance sur 216 pour les [[humain]]s et les [[elfe]]s ;
Trolls, dwarfs: 1:36.
:Une chance sur 72 pour les [[ork]]s ;
:Une chance sur 36 pour les [[troll]]s et les [[nain]]s.


Humans and elves have a ''very'' high chance of being dead within 12 hours following initial exposure, due to the increased likelihood of succumbing immediately to the induced allergy. Orks and trolls, with their respectively higher average constitutions, are much more likely to survive the initial onset of symptoms, as are dwarves with their innate resistance to toxins and pathogens.   
Les [[humain]]s et les [[elfe]]s ont très peu de chance de survivre plus de 12 heures après l'exposition initiale au virus, à cause des risques élevés de succomber immédiatement à l'allergie induite. Les [[ork]]s et les [[troll]]s, grâce à leur meilleure constitution, ont beaucoup plus de chance de survivre aux premiers symptômes, de même que les [[nain]]s de par leur résistance aux toxines et aux pathogènes en général.   


A variety of treatments are available. Tetracycline was initially used against VITAS-1, these treatments gave way to more modern antivirals such as Zeta-Interferon, and have some effect at hindering the virus by interfering with viral reproduction.  Subsequent strains are becoming more resistant to antiviral therapy, however. Antihistamines provide some relief to the symptoms.
Divers traitements existent. La tétracycline a été initialement utilisée lors de la première épidémie, mais elle a ensuite été remplacée par des antiviraux plus modernes comme le Zeta-Interferon, qui arrive à freiner la progression du SIVTA en interférant avec la reproduction virale, même si les souches subséquentes deviennent cependant plus résistantes à la thérapie. Les antihistaminiques fournissent également quelque soulagement aux symptômes.  


Magical treatment greatly increases the chance of survival. It is believed to have been another factor in Amerind populations remaining unscathed from the disease. There is also evidence that native folk medicines helped stave off the infection in Africa.
Les soins d'origine [[magique]] augmentent énormément les chances de survie. Il semble que cela a été un facteur supplémentaire de protection des populations Amérindiennes. Il a aussi été prouvé que les médecines traditionnelles ont contribué à limiter la propagation du virus sur le continent [[africain]].  
==Historical Impact==
Although there has been rumors and conspiracy theories that a viral-form biological weapon with similar vectors and symptoms was being developed at a research lab in Christmas Valley, Oregon (now currently owned by TIC in [[Tir Tairngire]]), the first recorded cases of VITAS occured in 2010 in New Dehli, [[India]] and would soon spread to all corners of the world.  


Over the next two years, VITAS pandemic would killed off approximately a quarter of the world's population (based off 2002 projections of world population growth, approx. two billion dead). Asia, then North America and Europe where the first to be hit. The most extreme response to VITAS was the "Terror Time" in Mexico City, in which the self-proclaimed Citizen's Action Committees burned down most of the city to prevent infection. A similar incident occurred in Calcutta, [[India]], resulting in the entire city being rebuilt. The Native American internment centers would be spared from the VITAS outbreak, ironically, since their populations where isolated.
==Conséquences historiques==


In 2011, VITAS hit the African continent, where forty percent of the VTIAS worldwide death toll took place. Three-quarters of the population where infected before the World Health Organization and other international organizations step in, and even when medical supplies where provided, local governments withheld vaccinations from large portions of the populace in order to either sell to the highest bidder or just make sure the people ''they'' wanted to survive did so. In the end, the death toll from primary infection would stand at 750 million people would die in sub-Saharan Africa, over 30 million on the coasts of West Africa, and the island nation of Madagascar would be almost depopulated, with 10 million dead out of 14 million, or over 70% of the nation's population.  
Les premiers cas de SIVTA furent recensés en [[2010]] à [[New Delhi]], en [[Inde]] et l'épidémie s'est rapidement propagée au monde entier. Pendant les deux années qui suivirent, la pandémie aurait tué environ un quart de la population, soit près de deux milliards de victimes. Après le [[Asie|continent asiatique]], l'[[Amérique du Nord]] et l'[[Europe]] furent les premiers touchés. Ironiquement, seules les réserves indiennes furent épargnées, de par leur [[Acte de Relogement et de Rééducation|isolement forcé]].


Strain II, during the 2020s, did another number on the world, again doing the most damage in developing countries.  This strain killed another 10% of the world's population -- nine hundred million (900,000,000) people.
Les réactions les plus extrêmes au SIVTA furent les incendies volontaires, pour tenter de stopper l'épidémie, de la majeure partie des villes de [[Tenochtitlán|Mexico]] et de [[Calcutta]].


Despite many places in the industrialized nations having the therapies on-hand, practically ''in''-hand at the time of infection and onset, VITAS still hacked a swath through the developed world.
En [[2011]], le SIVTA frappe le continent [[africain]] de plein fouet : 40% des victimes du SIVTA seront africaines. Les trois quarts de la population africaine furent contaminés avant même que l'Organisation Mondiale de la Santé ou quelqu'autre organisation internationale n'arrive sur place. Quand l'assistance médicale fut enfin acheminée, les gouvernements locaux ne distribuèrent pas tous les vaccins, que ce soit dans le but d'en vendre au plus offrant ou pour simplement s'assurer que les gens qu'ils voulaient protéger puissent survivre.
 
Finalement, le bilan des morts de la première épidémie s'éleva à 750 millions de victimes en [[Afrique]] subsaharienne, plus de 30 millions sur les côtes de l'[[Afrique]] de l'Ouest, et le ravage quasi total de la population de l'île de [[Madagascar]] avec 10 millions de morts sur une population de 14 millions, soit un taux de décès supérieur à 70%.
 
La Deuxième Épidémie, en [[2022]], fut elle aussi terrible, foudroyant encore la plupart de ses victimes dans les pays en voie de développement, au point de décimer encore 10% de la population mondiale, soit environ neuf cent millions de personnes.
 
Bien que les thérapies aient été tout de suite disponibles quasiment partout dans les pays industrialisés, le SIVTA a tout de même frappé l'ensemble des populations.


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== Sources ==
== Sources ==
* ''Africa and VITAS, bronchial constriction fatalities'' (cp.92-93)
*[[SR3]]
*[[Cyberpirates]] p 92/93  


[[catégorie:traduction en cours]]
[[catégorie:histoire]]


[[en:VITAS]]
[[en:VITAS]]
[[de:Virusinduziertes Toxisches Allergie-Syndrom‎]]

Dernière version du 27 juin 2009 à 10:21

Le Syndrome Induit Viralement Toxico-Allergique, plus connu sous l'acronyme de SIVTA, est un virus hautement mortel et extrêmement contagieux car transmissible par voie aérienne. Les deux grandes pandémies de SIVTA, en 2010 puis 2022, ont décimé plusieurs milliards de personnes. Sous de nombreux aspects, le SIVTA a été responsable de la chute d'anciennes puissances et de la naissance de nouvelles, juste avant le début du Sixième Monde.

Certaines rumeurs prétendent qu'une arme biologique de forme virale, utilisant les mêmes vecteurs et présentant des symptômes similaires, avait été développée dans un laboratoire de recherche de Christmas Valley, en Oregon.

Symptômes et traitements

Les premiers symptômes du SIVTA apparaissent dans les 12 heures après l'exposition initiale au virus. Passée cette période d'incubation, les frissons, la fièvre et les nausées s'intensifient peu à peu. S'il n'est pas endigué, le SIVTA provoque un choc anaphylactique, avec une augmentation des taux d'histamine qui entraîne une vasodilatation des bronches. La plupart des morts sont dûes à une suffocation par bronchoconstriction, comme cela peut arriver pour les crises d'asthme.

En moyenne, un individu exposé au virus a statistiquement les chances suivantes de survie, s'il a des médicaments adaptés à sa portée :

Une chance sur 216 pour les humains et les elfes ;
Une chance sur 72 pour les orks ;
Une chance sur 36 pour les trolls et les nains.

Les humains et les elfes ont très peu de chance de survivre plus de 12 heures après l'exposition initiale au virus, à cause des risques élevés de succomber immédiatement à l'allergie induite. Les orks et les trolls, grâce à leur meilleure constitution, ont beaucoup plus de chance de survivre aux premiers symptômes, de même que les nains de par leur résistance aux toxines et aux pathogènes en général.

Divers traitements existent. La tétracycline a été initialement utilisée lors de la première épidémie, mais elle a ensuite été remplacée par des antiviraux plus modernes comme le Zeta-Interferon, qui arrive à freiner la progression du SIVTA en interférant avec la reproduction virale, même si les souches subséquentes deviennent cependant plus résistantes à la thérapie. Les antihistaminiques fournissent également quelque soulagement aux symptômes.

Les soins d'origine magique augmentent énormément les chances de survie. Il semble que cela a été un facteur supplémentaire de protection des populations Amérindiennes. Il a aussi été prouvé que les médecines traditionnelles ont contribué à limiter la propagation du virus sur le continent africain.

Conséquences historiques

Les premiers cas de SIVTA furent recensés en 2010 à New Delhi, en Inde et l'épidémie s'est rapidement propagée au monde entier. Pendant les deux années qui suivirent, la pandémie aurait tué environ un quart de la population, soit près de deux milliards de victimes. Après le continent asiatique, l'Amérique du Nord et l'Europe furent les premiers touchés. Ironiquement, seules les réserves indiennes furent épargnées, de par leur isolement forcé.

Les réactions les plus extrêmes au SIVTA furent les incendies volontaires, pour tenter de stopper l'épidémie, de la majeure partie des villes de Mexico et de Calcutta.

En 2011, le SIVTA frappe le continent africain de plein fouet : 40% des victimes du SIVTA seront africaines. Les trois quarts de la population africaine furent contaminés avant même que l'Organisation Mondiale de la Santé ou quelqu'autre organisation internationale n'arrive sur place. Quand l'assistance médicale fut enfin acheminée, les gouvernements locaux ne distribuèrent pas tous les vaccins, que ce soit dans le but d'en vendre au plus offrant ou pour simplement s'assurer que les gens qu'ils voulaient protéger puissent survivre.

Finalement, le bilan des morts de la première épidémie s'éleva à 750 millions de victimes en Afrique subsaharienne, plus de 30 millions sur les côtes de l'Afrique de l'Ouest, et le ravage quasi total de la population de l'île de Madagascar avec 10 millions de morts sur une population de 14 millions, soit un taux de décès supérieur à 70%.

La Deuxième Épidémie, en 2022, fut elle aussi terrible, foudroyant encore la plupart de ses victimes dans les pays en voie de développement, au point de décimer encore 10% de la population mondiale, soit environ neuf cent millions de personnes.

Bien que les thérapies aient été tout de suite disponibles quasiment partout dans les pays industrialisés, le SIVTA a tout de même frappé l'ensemble des populations.

Sources