Hambourg

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Carte

La Cité Libre et Hanséatique de Hambourg, aussi nommée la Venise du Nord, est une Citée Libre située en Allemagne à l'estuaire de l'Elbe. C'est le principal repaire des pirates de la Mer du Nord.

Histoire

  • 2011 : la Vague Noire déferle sur l'Europe du Nord, et en particulier fait de Hambourg un port en parti inondé, ce qui lui vaut d'être nommé Venise du Nord.
  • 2015 : Hambourg devient indépendante de l'Allemagne


Politique

Le maire de Hambourg et Porte-parole du Senat est Vesna Lyzhichko, lié aux Anti-Eurocrates.

Le Senat de Hambourg dirige la Citée Libre depuis son indépendance. Chaque Senateur est en charge d'un aspect de l'administration de Hambourg, ils sont élu par le peuple pour un mandat de 4 ans. Les citoyens d'une mégacorporations ne peuvent pas se présenter pour éviter les conflits d'intérêts.

Le Altermänner est le cabinet de l'ombre de Hambourg, qui serait soit-disant contrôlé par certains Senateurs et citoyens influents de Hambourg. On prétend que c'est ce cabinet qui contrôle réellement la ville. Ils sont farouchement indépendantistes et anti-corporatistes.

Le policlub Mutter Erde est très actif dans la Citée Libre, il promeut le féminisme, l'éco-conscience, la magie naturelle, et une spiritualité entre druidisme, shamanisme et sorcellerie.

Le mouvement Anti-Eurocrate a été créée à travers toute l'Europe en réaction à la NCEE, ce sont des nationalistes et des protectionistes.

L'Union Anarcho-syndicaliste est représentée au parlement et représente la tendance syndicaliste et anarchiste de la ville.


Urbanisme

L'inondation subie de Hambourg a poussé ses habitants à developper des solutions originales : les rues sont devenues des canaux dans lesquelles circulent des hydrotaxis, des pontons ont poussés un peu partout, les niveaux inondés ont été étanchéifiés et des pontons pour sous-marins installés, des zones sous-marines dans les bases des batiments servent aujourd'hui de planques pour les contrebandiers.

Au-dessus de ce reseau, le métro aérien relie les différents districts tandis que des autoroutes aériennes relient Hambourg, le reste de l'Allemagne, et la Scandinavie.

Districts

  • Kaltenkirchen : le district de l'aéroport international.
  • Nordstadt : le district des tours corporatistes.
  • Eimsbüttel : le district des media et du show biz.
  • Wandsbek : le district du gouvernement de la Cité Libre.
  • Harburg : district pauvre
  • Bergedorf : district pauvre
  • Wildost : l'Est Sauvage est une zone de non-droit, ancien emplacement des camps de réfugiés Baltes et Polonais, devenu un enfer inondé et toxique dévoué au crime. Les exclus, SINless, pirates, clandestins et radicaux écologistes (comme le Klabauterbund) sont rejetés ici.
  • Big Willi : officiellement Hansestrafvollzuganstalt I, est île-prison sur le modèle d'Alcatraz, qui se situe sur les restes du district de Wilhelmsburg (d'où le surnom).
  • Neue Mitte : district du centre ville, parcouru par les canaux et les néons. C'est une zone de spam RA, en particulier dans le quartier chaud de Saint Pauli. C'est le quartier de rencontre des shadowrunners et de leur Schmidts (les Johnsons d'Hambourg).
  • Altona : district du centre ville, parcouru par les canaux et les néons.

Économie

La présence corporatiste est particulièrement visible à Stade, malgré la politique défavorable de la Citée Libre. On y trouve en particulier (et souvent à travers des filialles) :

La principal ressource de la ville est la zone portuaire, qui accueille les petits et moyens porte-contenairs de la Mer du Nord (les gros vont à Europort).

Les douaniers armés de Hambourg font respecter scrupuleusement les procedures et droits de douanes aux corporations, et laissent faire les pirates avec complaisance, entretenant le marché noir et évitant ainsi à Hambourg de trop dépendre des corporations.

Organisations Criminelles

  • Les Vory Rouges originaires des pays Baltes sont de plus en plus nombreux.

La ville est par ailleurs infestée de groupes de pirates indépendants et de gangs germaniques ou scandinaves, sans parler des organisations terroristes comme Green War, Nationale Aktion, Rote Zora, Sie, Attack! et Green Cells.

Références

Liens Externes